A la réflexion, ce sont les constructeurs automobiles qui devraient régler ce problème en amont. Par exemple en intégrant un système « anti-chauffard bourré » à tous leurs modèles. Ce pourrait être des capteurs dans les sièges permettant de mesurer instantanément votre degré d’alcool dans le sang. Ainsi, quand avec deux grammes vous mettriez le contact de votre Renault, quatre haut-parleurs de 500 watts (également intégrés au véhicule) se mettraient à diffuser « Alexandrie, Alexandra» à plein régime. Dans ces conditions, difficile de rouler plus d’un kilomètre en centre ville. On peut imaginer que c’est sur du Wagner que les possesseurs de Mercedes Benz vont tenter de rentrer chez eux. Ce sera pas juste.