En hiver, j’ai froid comme les motards, et quand il pleut, je suis presque aussi mouillé qu’eux. Pourtant, les motards ne me font jamais de petit signe en me croisant, comme ils le font entre eux. C’est vexant. Du coup, je ne dis bonjour qu’aux vespistes. Le communautarisme des uns rend-t-il communautaristes les autres ?