Dimanche, parmi la foule qui se massait contre les barrières de sécurité, il n’y avait pas que des passionnés d’automobiles anciennes. Il y avait aussi des badauds, des familles en promenade dominicale, des retraités désœuvrés, des curieux attirés par le bruit etc. Et bien que le spectacle se résume à regarder des voitures tourner en rond, la diversité du public prouvait une fois de plus que le Grand Prix de Tours n’est pas une manifestation en cercle fermé. Il a bien une dimension régionale, et on aimerait le voir prendre encore plus d’envergure.
Photos : Thierry Marzloff