L’autre jour, je suis retourné à La chancelière Olivier Arlot . Pas pour y manger mais pour faire des photos. Et ce fut très dur.
Très dur parce qu’une équipe de la télé publique japonaise faisait un reportage sur le chef, la cuisine était pleine (je plains les cuisiniers au passage) et toute la journée je vis des plats délicieux me passer sous le nez sans que je puisse en manger un seul. Ils étaient toujours séparés de mes papilles gustatives par une caméra, ou une perche avec un micro poilu au bout.
Adieux Fines tranches de truffes, Turbot doré au beurre iodé, Saint Jacques avec pack choy et bouillon de volaille au soja.
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